I Love Morocco

venha descobrir o marrocos..o reino dos sentidos, a mistica do deserto as tradições milenares , as paisagens unicas , os lugares lendarios ,paraisos perdidos..deixe-se apaixonar conosco pelo marrocos...
Marrocos, terra de contrastes que não deixa ninguém indiferente. Em cada canto do país descobre-se monumentos grandiosos, paisagens fascinantes. Num doce perfume de Oriente aliam-se tradição e modernismo. Aproveita-se para visitar as cidades imponentes, recostar-se nas belas praias, descobrir a riqueza arquitectural e cultural do país, recordações da sua longa história.

quarta-feira, 7 de dezembro de 2011

Les vins du Maghreb

De Tunis à Rabat, une route des vins ensoleillée

maroc13Avec un soleil omniprésent et des terroirs diversifiés, le Maghreb réunit toutes les conditions nécessaires à la production de bons vins. Grâce au développement des exportations, les vignobles tunisiens, algériens et marocains en proposent aujourd'hui une large palette. Les cépages Cinsault, Mouvèdre ou Pinot Noir rappellent la présence française en Afrique du Nord. A côté de cela, le développement de cépages locaux favorise la création d'assemblages uniques, propres à chaque pays. De quoi apporter un peu de chaleur à notre palais…
Chaque pays du Maghreb possède ses propres régions viticoles dont certaines ont droit à une Appellation d’Origine Garantie (AOG).
En Algérie, les zones viticoles de qualité se trouvent autour d’Alger et d’Oran. Parmi les plus célèbres, citons les coteaux de Mascara qui produisent les meilleurs vins du pays et notamment le fameux Sidi-Brahim.
Au Maroc, la principale région de production se situe dans les environs de Meknès et Fès. On y trouve les appellations Guerrouane et Beni Sadden. Dans la région de Gharb, on produit le Gris de Boulaouane, un rosé populaire et léger.
Enfin, en Tunisie, les vignobles de Bizerte, dans le Nord, tout comme ceux de Hammam-Lif, près de Tunis, produisent des excellents muscats.      
Depuis la plus haute Antiquité, le raisin est consommé dans tout le Maghreb. Il s’agissait essentiellement de vignes sauvages dont les petites grappes, aux grains compacts et au goût âpre, étaient dégustées fraîches ou séchées au soleil. Les Romains ont apporté les premières techniques viticoles comme le montrent les nombreuses mosaïques d’époque représentant, notamment, des scènes de vendanges. Par la suite, l’extension de la religion musulmane a mis de côté la culture de la vigne. Il faut attendre le 19ème siècle, période de la colonisation, pour voir la France développer à nouveau la production de vins.Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie gardent, aujourd’hui encore, les signes de cette présence. En effet, dans chacun de ces pays, la France a créé un important vignoble. Après l’indépendance, la plupart des meilleurs producteurs sont alors partis s’installer en Corse ou dans le midi et ont laissé en héritage à la population locale des cépages, des goûts et une législation viticole française.
De nos jours, il ne reste plus grand chose de tout cela. La religion musulmane conduisant à se désintéresser du vin, la demande intérieure s’est vue limitée. Chaque pays a donc arraché ses vignes. Ainsi, la superficie des vignobles et le rendement ont été divisés par deux. Néanmoins, le développement des exportations et certaines initiatives récentes, en partenariat avec des entreprises françaises, ont permis de redonner vie aux vignobles.
Il faut noter que ces derniers longent presque tous les côtes. Cependant, les meilleurs vins viennent généralement des collines situées dans l’arrière-pays.


Symboles de l’époque coloniale, les cépages rouges les plus répandus sont le Carignan, le Cinsault et le Mouvèdre. En outre, on trouve également du Grenache et du Pinot Noir. Néanmoins, il existe aussi des variétés régionales comme le Farhana, le Hasseroum ou le Zerkhoun dont les différents assemblages permettent de créer des vins uniques.
Les rouges sont généralement robustes et typés. Ils accompagnent très bien les plats maghrébins et peuvent remplacer, lors d’un repas de fête, un vin du sud de la France. 
D’après les connaisseurs, les meilleurs proviennent du Maroc dont les installations sont les plus modernes d’Afrique du nord. Une petite partie de la production marocaine se traduit en rosé, un vin très pâle appelée parfois '' vin gris ''.
En Algérie, les rouges issus des montagnes sont très bons. En effet, le climat frais et raisonnablement sec de ces régions est favorable au vignoble.
Les vins blancs sont fabriqués à base de Clairette et d’Ugni blanc. Si les muscats de Tunisie sont considérés comme les plus fameux, les blancs sont, dans l’ensemble, peu réussis.
Les vins d’Afrique du nord conservent, en général, un certain attrait chez les Français, même s’ils restent assez méconnus du grand public. Les vins algériens, marocains ou tunisiens méritent pourtant d’être dégustés et apportent, le temps d’un repas, un peu de soleil à votre table…

L'hospitalité comme un art de vivre

L'hospitalité comme un art de vivre

L'hospitalité comme un art de vivre
maroc7Au Maroc, on ne se contente pas de régaler ses invités, on les choit, on les dorlote, on les gâte.
Comme peut l'être aussi, l'offrande de lait et de dattes, le thé à la menthe est la manifestation symbolique de cette hospitalité. Le refuser serait considéré comme une offense ! Il est préparé à partir de thé de Chine vert, de menthe fraîche, d'eau bouillante et de sucre.
A table, les plats sont disposés au centre des convives et dégustés traditionnellement des trois premiers doigts de la main droite, ou saisis avec le kesrah, une galette de pain faite de farine de blé dur.
Bismillah ! (Louange à Dieu) est la formule prononcée par le maître de maison, pour lancer les agapes…
Nous sommes bien d'accord : Bismillah ! Bismillah !
Bismillah !
La cuisine marocaine, symbole de la richesse de cette civilisation, a la réputation d'être la plus sophistiquée du Maghreb. S'y mêlent épices, saveurs et couleurs. Une cuisine de fête et de soleil servie avec le sourire et la générosité d'un peuple qui a fait de l'accueil, sa tradition.
Situé au nord de l'Afrique, bordé par l'océan Atlantique et la mer Méditerranée, le Maroc n'est qu'à 12 km de l'Espagne, par le détroit de Gibraltar. Une position hautement stratégique qui n'a cessé d'attirer les convoitises de peuples en mal d'expansion politique ou commerciale. Pline l'Ancien mentionnait déjà la contrée, 2000 ans avant JC. S'y sont succédés Phéniciens, Carthaginois, Byzantins, Romains, Vandales, Arabes et Français. Les berbères constituent le peuple d'origine auquel se sont ajoutés, à partir du 8e siècle, les arabes.
Un brassage culturel qui a fondé et enrichi les traditions locales. Les fêtes en témoignent, qui s'égrènent tout au long de l'année, au rythme des récoltes et des célébrations religieuses. Autant d'occasions de danser au son des chants berbères, du luth, de la cithare ou du bendir… Et de festoyer !


Le couscous est la plus connue des spécialités marocaines. Plat simple, dégusté traditionnellement le vendredi, il est composé d'un mélange de viandes, de légumes et de pois chiches bouillis, de semoule de blé cuite à la vapeur. On en connaît à peu près autant de recettes qu'il y a de régions au Maroc. Les berbères, par exemple, le parfument au lait de brebis ou de chèvre !
La cohorte des tajines suit de près. Le nom de ces ragoûts de viandes, légumes et fruits fondants, enrobés d'épices fleuries, leur vient du plat en céramique, dans lequel on les mitonne à l'étouffée. Irrésistibles !
La pastilla, enfin, ferme divinement la marche des vedettes, avec son feuilleté de pigeon, d'amandes et de cannelle. Et viennent encore le méchoui, la harira qui reconstitue tous les croyants, les soirs de ramadan, la tanjia marrackchia que les hommes font cuire en jarre, sous les cendres du hammam et toutes ces merveilles de petites pâtisseries aux parfums mystérieux de l'orient …

sábado, 3 de dezembro de 2011

Como preparar um chá de menta marroquino

Em Marrocos é prática comum beber um copo de chá de menta cinco ou seis vezes por dia – para além do convívio social e do paladar refrescante e delicioso, o chá de menta tem algumas propriedades terapêuticas conhecidas. Aprenda a preparar um chá de menta tipicamente marroquino e traga um pouco de Marrocos para a sua casa.

O poder do chá de menta

Há muitos séculos que o chá de menta faz parte da cultura e estilo de vida marroquino. Para além de ser sinónimo de um ritual relaxante e saboroso (os marroquinos apreciam o seu chá de menta especialmente doce!), diz-se que o chá de menta faz bem à saúde, nomeadamente para facilitar a digestão, aliviar a má disposição resultante da mesma, combater dores de cabeça e estados de nervosismo. Num país onde não se bebe álcool, os marroquinos admitem que o chá de menta possa ser o seu grande e único “vício”, sendo consumido cinco ou seis vezes por dia ou por vezes até mais. Servido quente, morno ou frio, o chá de menta é ainda um símbolo da hospitalidade marroquina.

Como servir um chá de menta

Tradicionalmente, o chá de menta é preparado num bule específico – o bule Berber ou Sufi – de formas curvas e com desenhos mouros, é normalmente feito de latão ou banhado em prata. Ao contrário do que habitualmente sucede na hora de servir um chá, o chá de menta não é servido nas típicas chávenas de chá, mas antes num pequeno copo de vidro colorido e ornamentado – o que torna toda a cerimónia do chá de menta ainda mais agradável. O bico longo e elegante do bule marroquino facilita o ato de servir o chá de menta nos respetivos copos de chá marroquinos. Se pretender fazer e servir chá de menta com frequência, aconselha-se o investimento num bule de chá marroquino, exclusivamente reservado para a preparação do chá de menta, evitando assim a influência dos sabores e aromas de outros chás. Para além disso, os típicos copos de chá marroquinos também são um pequeno extra que tornará cada momento de chá especial. Para servir um chá de menta com pompa e circunstância, disponha o bule e os copos em vidro num tabuleiro em latão.

A preparação

  • Ferva um pouco mais de água do que aquela necessária para fazer um bule de chá.
  • Uma vez fervida a água, deite um pouco no bule de chá, agitando-o cuidadosamente de forma a aquecer o bule com a água fervida. Deite a água fora.
  • Coloque, dentro do bule, 3 colheres de chá de chá verde solto, 10 raminhos de menta fresca e 3 colheres de sopa de açúcar. Também pode utilizar folhas de menta secas, cerca de 3 colheres de chá.
  • Encha o bule com a água fervida e permita um tempo de infusão de cerca de 3 minutos, mexendo as folhas uma ou duas vezes apenas.
  • Se for a primeira vez que prepara um chá de menta, prove: o chá pode precisar de mais tempo de infusão ou mais açúcar. Se estiver muito fraco ou muito forte, na próxima vez que preparar um chá de menta, diminua ou aumente a quantidade de chá verde e de folhas de menta utilizadas.
  • Com a ajuda de um passador (para recolher as folhas) sirva o chá de menta nos copos marroquinos. Pode guarnecer cada copo com algumas folhas ou um ramo de menta se desejar.
  • Enquanto serve o primeiro chá de menta, pode preparar a próxima infusão: adicione 1 colher de chá de folhas de chá verde, 1 colher de chá de folhas de menta e 2 colheres de sopa de açúcar ao bule e encha com água fervida. Deixe repousar durante 5 minutos, mexa, prove e sirva.
  • Se pretender servir o chá de menta morno, deixe arrefecer até à temperatura desejada. Se pretender servir o chá de menta frio, deixe arrefecer até se encontrar morno e adicione gelo.